« Maman, où on est ? »


C'est la seule voix qu'on entendait dans cette pièce. Une petite fille aux longs cheveux noirs dans une petite pièce qu'on appelle celule qui partage sa celule avec une jeune femme âgé dans les dix-neuf ans, les cheveux bouclés et roux. La jeune femme regardait avec un désépoir immense la petite fille, qui semble être sa mère. Comment annoncé à sa fille de dix ans qu'elles sont prises pour des cobayes ? Amapola, le nom de la mère de l'enfant, a été violée et mal-traitée par des scientifiques, c'était une femme qui ne savait pas se défendre, qui avait fait voeux de ne plus utiliser son pouvoir. Et puis de toutes manières, il y aurait des chasseurs à ses trousses et ils tueront son enfant sans aucune pitier. Amapolla savait très bien que Kahera, sa fille, aurait obligatoirement la même rage que son père. Amapola savait que dans excatement deux heures, elle allait mourrir et laissera sa fille aux mains sales de ses types. C'était lâche, mais elle faisait se qui avait mieu pour elle et sa fille. Amapola tendit un morceau de pain rassie à Kahera, le pain contenait du poison, elle allait tué sa propre fille, elle murmurait " Mange, ma fille, mange... " sans vraiment y mettre de la joie. De même que Kahera la fixait, et lui demanda :

« Maman, pourquoi on s'echappe pas ? Peu-être qu'on serait plus heureuse toutes les deux... »


Amapola n'y avait pas penser, elle était vraiment trop pessimiste pour penser de telle chose, surtout qu'elle à sa fille sur les bras. Bien qu'Amapola reçevait des lettres d'un pensionnat magique pouvant l'accueillir car elle possédait un pouvoir surnaturel, mais qui n'est certainement pas un don de dieu. Depuis qu'elle servait de cobaye pour "le bien de l'humanité", elle avait développer des pouvoirs qu'elle n'utilise sous aucun prétexte. A vrai dire, les scientifiques l'avaient menacer de tuer son enfant, alors elle ne voulait pas perdre la seule qui lui rester au monde : Kahera. Amapolla avala le morceau de pain empoisonner, embrassa sa fille et lui dit avec une tristesse absolu :

« - Kahera, ma chêêry, quand tu pourra t'enfuire, tu t'enfuira, promet-le moi. Et surtout... tue-les tous, pour moi, ma chérie...
- Mais... Maman ? »


La jeune maman souriait tristement à son enfant, elle savait que sa fille, tôt ou tard, s'échapperas car elle tien toujours ses promesses. Amapola, s'endormit pour toujours dans un coin de cette celule, Kahera dans ses bras qui pleure sa belle mamam disparut à tout jamais...


XxX


« Ces sal*parts, ils m'ont enfermé dans une cage sombre, j'ai tenté, depuis que j'ai dix ans, de m'enfuir. J'ai essayer de tout détruire, de liberer mes confrères, j'ai tout essayer, mais à chaque fois, quelque chose cloche... J'ai maintenant quatorze ans, aucune de ses fils de p**** ne voudra me toucher, j'ai traumatisée tout les scientifiques de se labo, on m'apelle l'expérience raté, la machine de guerre. Et ils pensent que me mettre dans le noir, les mains accrochers par de stupides chaines, les jambes attachés au sol me fera oublié mes élans agressifs et que j'me mettrais à leur service ? Nyahahaha, ils n'ont pas encore vue à quel point je pouvait être méchante et destructice. Je n'ai utiliser que la moitier des mes pouvoirs, je ne me suis toujours pas transformer en cette machine de guerre effroyable utilisant du nucléaire. Mais cette fois-ci, je n'irais pas secourir les autres personnes, s'ils veulent partir, qu'ils fassent leurs évasions eux même ! Il va bientôt être leur de manger mon dîner. Ce qui est drôle, c'est que je ne voit rien, je n'entend rien, mais je sais quand ils me donnent à manger. Je suis l'une des plus horrible des expériences. J'ai maintenant de magnifiques cornes sur ma tête. Je n'est peut être que 14ans, mais j'ai déjà en moi l'envie de tous les tuers et je connais tout les risques. J'ai passé assez de temps dans le noir pour comprendres mes erreures et pourvoir faire un nouveau plan plus intelligent, plus dangereux, plus destru--... »


La grande porte métalique s'ouvrit, laissant passer la lumière de la salle de derrière. Un jeune homme se tenait devant Kahera qui était enveloper dans une sorte de camisole étroitement collé à elle, elle était suspendut par les bras et retenue au sol par les jambes. Ce jeune homme qui était un beau blond aux yeux d'un bleu délavés, il apporte sur un plateau le dîner de Kahera. Il le posa à terre et fixa la camisole qui enveloppe le "bête" sauvage. Kahera parle toute seule, il le savait et il savait aussi qu'elle détestait les humains et qu'elle les tuerait tous. Il n'en est pas moins que le jeune homme connait cette jeune fille, il l'avait vu en photographie qui relate les exploits de la belle. Elle avait beacoups changée car maintenant elle avait d'affreuses cornes,-dont on ne sait la raison de leur croissance-, mais cela n'empèche qui en était tomber amoureux. C'est vrai que si on retire son côté sadique, Kahera est magnifique... ou presque. Ce jeune homme, qui est en réalité le larbin des scientifiques, fit semblant de sortir, pour la première fois, il allait entendre et voir Kahera. Les chaines qui la maintenait se détendèrent, elle se retrouva projetée violement au sol, elle se releva et se dirigea vers la plateau. Elle avait beau être dans le noir, Kahera se guide facilement vers le plateau, le jeune qui était rester dans un coin, fixait avec attention la scene qui se dérouler. Kahera attrapa la pomme et la jetta sur le larbin qui émit un bruit. Elle se tourna vers lui, malgré le masque qu'elle portait, il savait bien qu'elle le fixait méchament. Elle courra à sa rencontre, et il se colla contre le coin, elle s'arrête, enfin, elle vut obliger de s'arrêter car les chaines n'allaient pas plus loin. Son visage n'était qu'à quelques centimètre du larbin, il sentait qu'elle avait une haine sans raison envers lui.

« - Tu pue l'humain, t'es qui ? Qu'est-ce que tu m'veux ?
- R-rien... !
- Alors, qu'est-ce que tu fous là ? Retourne avec eux, sale bête !
- J-Je... Je ne suis pas un animal !
- Dis-moi ton nom alors ! Sale être humain !
- Je m'appelle ... Rei--.... »


La porte se réouvrir encore une fois, Kahera tourna la tête vers la porte tout comme le dénommé " Rei ". Deux soldats se jettèrent sur elle et Kahera hurla, 'Rei' fixa le scientifique qui venait d'arriver. Il souriait d'une manière étrange et fit un signe de tête à Rei.

« - Merci mon petit Reizo, comme quoi que mettre des capteurs dans cette salle est une bonne idée !
- Hein ?!
- Sal******* d'humains ! ALLEZ CREVER EN ENFERS ! BANDE D'ENF***** ! J'VAIS TOUS VOUS TUER !
- Calmez donc ces ardeurs ! »


A peine avait-il terminé sa phrase, que le scientifique fut assomé par un coup de plateau, les deux soldats lachèrent la jeune fille et se ruhèrent sur le larbin. Ils commencèrent à le rouer de coups, quand la silouette de Kahera se reléva et donna un coup de poing dans les côtes d'un des soldats qui vola non loin. Elle souriait, elle était enfin libre et pourra tous les tués. Elle attrapa le plateau que tenait le larbin, le cassa en deux, se jetta sur l'autre soldat et lui masacra sa tête avec l'un des morceaux de plateau. On l'entendait rire et dire " J'vais te masacrer ta gue*** avec tant d'amour que ta mère va pas te reconnaitre ! ". Quand elle eu bien déformer le soldat, l'autre essaye de lui tirer dessus, manque de chance, Kahera était déjà au dessus de lui, elle avait son éternelle rictus diabolique aux lèvres et lui enfonca le plateau dans la gorge. Elle était maintenant seule avec Reizo, dans la pièce, et pour la première fois, aucune alarme n'a été déclenché. Elle le fixait de ses yeux verts flash et déclara :

« - Bouf***, t'as le choix entre crever ici ou me faire quitter c'te pu**** de labo'.
- K-Kahera ?
- Quoi ?!
- Je peut venir avec toi ?
- ...Fait-moi sortir d'ici, on en rediscutera plus tard. »


Kahera était maintenant dans le couloir, avec Reizo. Il était bizarre de voir une enfant avec des cornes longues et recourbés rappellant une colonne vertébrale. Reizo prennait beaucoup de risque en faisant s'évader une patiente, surtout quand on parle de Kahera. Ils avaient emprunter tout deux des couloirs où personne ne passe d'habitude. Reizo allait faire sortir Kahera par derrière, car il sait bien que ce coin du labo est visité que par les rats. Ils étaient très silencieux car le moindre bruit pourrait alerter les gardes ou les scientifiques. Quand ils se retrouvèrent dehors, il fallait encore passer par dessus le mur et parcourir la forêt. Kahera fixait le ciel, un regard interrogatif. A vrai dire, elle n'est jamais sorti du laboratoire et n'avais jamais vue de ciel, surtout qu'il est gris. Ses cheveux courts ondulés volaient au vent, Reizo était pris d'une certaine émotion: voir Kahera si calme et recouverte de sang, à vrai dire, ça le rendait encore plus fou amoureux d'elle. Soudain, une alarme retentit, Kahera tourna la tête vers la porte fermé qui l'est avait conduit dehors, Reizo fixa Kahera qui l'attrapa par le bras. Elle attrappa la main de Reizo et elle commenca à courrir quand des soldats rentrèrent dans la petite arrière cour, le deux jeunes s'étaient déjà échappe depuis un moment, Kahera tennait fortement le poignet Reizo dans sa main et parcourra à une vitesse fulgurante. Ils se retrouvèrent de l'autre côté de la forêt, elle s'écrasa littéralement au sol, mais garda intact Reizo. Kahera soupira et Reizo lui jetta un regard admiratif, elle était fatiguée. Kahera ne pensait pas que de ne pas avoir utiliser son pouvoir pendant quatre ans aller tant l'afflaiblir. Reizo la regarda, enfaite, elle avait beau être sadique, c'était quelqu'un d'attachant. Il arracha un morcau de sa blouse blanche et en fit une ceinture à la taille de Kahera, puis il continua d'arracher toute sa blousse et lui souria. Kahera, bien qu'elle soit allongée, le fixa et lui demanda méchament pourquoi il souriait comme un c**. Il lui répondit simplement qu'il arrête de chercher à devenir scientifique et qu'il l'aime. Elle le fixa avec incompréhension, comment pouvait-il aimer un monstre comme elle. Il s'agenouilla à ses côtés et continua de lui sourire. Kahera se releva rapidement et le poussa, puis se retourna.

« - Reizo... T'as des talents pour forgé des trucs ?
- Euh, ouais. Pourqu--... »


Il n'eu pa le temps de poser sa question, il reçut un sac beige en plein dans le ventre. Il l'ouvrit le sac et découvrit du métal. Il la regarda d'un air ahurie, Kahera fixait le ciel, la nuit commence à tombé. C'était étrange de voir une sadique comme elle s'attendrire devant le ciel. Elle reprit tout en fixant le ciel :

« - Fabrique-moi deux gants avec les doigts en métal, prend s'plan, t'en aura b'soin. »


Kahera lui balança un croquis d'un gants avec des doigts ressemblant plus à des doigts de squelette tranchante qu'autre chose. Reizo vient d'être témoin d'une chose magnifique, un sourire sincère et innocent de Kahera. Elle lui souriait puis elle se retira, trop fatiguée pour rester avec lui. Ils étaient bien cachés, personne ne les trouveraient.

XxX

« Pendant deux ans, j'ai échappée à l'armée et à ses scientifique fous. J'ai maintenant 16ans, Reizo est mort alors qu'il n'avait que dix-sept ans et moi quinze. C'était un humain intelligent, mais pas assez car il ne savait pas à quel point j'était une fille horrible, qui n'inspire qu'à la vengeance. C'est les chasseurs qui l'ont tué, juste devant moi. Reizo, il préfére crever que de me laisser attraper par ses sal******. Ouaip, un gars qui aime le monstre que je suis. Pendant deux ans, j'ai ignorait ses avances, mais pourtant, j'ai garder ses cadeaux. Le morceau de blouse qu'il m'avait attaché autour de la taille et les gants en fer qu'il m'avait confectionner. Depuis deux ans, j'ai fait les pires des meurtres qu'on puisse imaginer. Je suis rechercher par tout les armées de la terre, j'suis tellement connut que beaucoup de gens disent que je suis qu'une légende... Pas vrai, Patty ? »


Kahera tenait dans sa main armé de lames noirs, la tête d'une femme âgée par les cheveux. Kahera lui souriait gentillement et se mit à rire. La pièce où elle se trouvait était repeinte de sang de la veille dame. Kahera était assise sur la table et rigolait, elle avait toujours ses imposantes cornes qui avant beaucoup grandit en deux ans, ses cheveux étaient en large anglaise, son visage blanc tacheté de sang, son ruban blanc aussi. Elle jeta la tête par la fenêtre grande ouvert, descendit de la table et ouvrit le frigidaire et prit une brique de lait et la posa sur la table, et l'emprocha avec ses lames. Kahera souria, il était maintenant l'heure de partir, elle ouvrit la porte et sorti en la refermant soigneusement. Le couloir de l'immeuble était vide, une chance. Elle rengea ses lames dans leurs gants, se recoiffa et s'essya les mains sur sa robe noir. Elle prit les escaliers, descendant en chantonnant la musique du parrain. Un film qu'elle avait vue avec Reizo qu'il avait télécharger. Grâce à lui, elle savait plein de chose, elle savait même comment s'appelle cette chose qui change de couleur qui passe du bleu au gris, au jaune, au rouge, au orange et au noir. Le ciel. Quand elle sorti de l'immeuble, il pleuvait et tout le monde criait. La tête qu'elle avait jeter par la fenêtre avait atterit sur un taxi, la police n'était pas loin, Kahera profita de cette agitation pour s'enfuit sans éveillé les moindres soupçons.

Kahera vivait dans la forêt, non-loin de la ville où elle avait fait ce carnage. Elle avait fait une sorte de terrier souterrain. D'ailleur, le lendemain de son installation, Kahera avait reçut une lettre qui l'inviter à rejoindre à pensionnat et comment s'y rendre : elle ne pouvait pas déccliner cette invitation. Kahera allait donc devoir faire preuve d'humanité, cotoyer des humains. Même si elle en est une, elle ne se sent plus tellement humaine avec ses cornes et ses ailes, elle arrive a supporter de se faire "relooker" par tout ceux qui la croisent, mais préfére resté terrer dans sa tanière que de soritr pour se faire traiter de bête de foire. Kahera a développer une haine envers la race humaine, même si elle est humaine, car en réalité, elle ne se sent plus humaine. Pour elle, les humains sans pouvoir et les humains avec pouvoir sont totallement différent, et puis, Kahera ne cherchera pas vraiment à faire la différence. Mais il était sûr que Kahera n'allait pas jouer la gentille petite fille modèle dans le pensionnat, elle allait certainement la jouer fini à l'intérieur du pensionnat, mais elle n'allait pas se retenir à l'extérieur. Il va donc falloir la tenir en laisse ! Ou bien fera t-elle la gentille en imitant les "humains", donc, en redevenant humaine. La vie au pensionnat risque d'être compliquer pour notre Kahera !