Bref j'observais l'endroit, je ne comprenais pas ce que je faisais ici, j'espérais rencontré quelqu'un qui puisse répondre à mes questions ou à ma question. Enfin j'en avais plusieurs donc plutôt mes questions. Déjà qu'est-ce que je faisais ici ? Qu'est-ce que c'est ce Pensionnat ? Pourquoi j'ai reçu bizarremment cette lettre le lendemain que je remarquais que je possédais un étrange pouvoirs ? Mon crâne était bourré de question que cela en devenait inssuportable pour la petite personne que je suis. J'aime pas me poser un taquet de question et là je m'en posais. Tous ce que j'allais réussir à avoir en premier était une simple migraine. Je soupirais et essayais de faire le vide dans ma tête... Une... Deux... Trois... Et voilà je sais plus ce que je voulais poser comme question, bon si je savais ce que je voulais poser mais c'était une façon pour moi pour ne pas y penser. J'attendais sagement, en m'assoyant sur ma plus grande valise, en espérant qu'elle ne se casse pas la gueule et moi avec. Surtout qu'en regardant ma tenue, il faudrait pas. D'ailleurs j'étais vêtue d'une jolie jupe grise au motif écossais, d'une chemise blanche dont les bouton n'étaient pas tous boutonné et d'une cravate comme accéssoire de couleur noir. Et de chaussures mignonne allant avec, comme celle que je portes de mon uniforme de lycée. Donc voilà pourquoi je veux pas car j'ai une jupe et ça serait la honte que quelqu'un voit ma culotte. Oh même si c'est vrai le ridicule ne tue pas, personne ne voudrait que cela lui arrive. Avec plus de reflection je décidais de me remettre debout bien droite en soupirant légèrement et marmonnant :

Fait une moue triste mais l'efface assez vite et commence à faire les 100 pas pour se passer le temps. Le temps écoulaient et aprés avoir fais les 100 pas, je prenais mon mp4 mais je remarquais qu'il était pas sur moi. Sacrilége comment je vais écouter de la musique moi ? Hein ? Dite le moi ? En y pensant peut-être qu'il se trouvait dans mes valises. D'ailleurs j'en avais 2 une grande et une plus petite que la première, eh ben j'avais un paquet d'affaire. Enfin à mon avis il y avait pas que mes habits dedans mais mes affaires comme mes livres, ma musique des trucs comme ça. Je soupirais une nouvelle fois et faisait un tour sur moi même et me retrouvait en face regardant la porte de sortie du hall.